Abandonnant la Terre désolée, le troupeau s’ébranle pour la grande transhumance cosmique. On nous envoie paître sur Mars, planète aride et désertique sans oxygène où l’herbe est plus verte, paraît-il.
Toute
sa douceur s’évapora, qui n’avait donc jamais été qu’un masque de buée sur son
visage de glace.
Je
sais que celles que j’ai perdues sont chez Franck, Laurent, Philippe et Hervé.
Mais où sont les billes que j’ai gagnées ?